Je vous offre mon soleil

Bonne journée

Coucou, je suis en train de réaliser une peinture sur le Mont St Michel

C'est sur un pot rond, d'ou le montage ...

Dites moi s'il vous plait ce que vous en pensez

Je voudrai modifier certaines choses mais j'aimerai dabord vos avis

Merci

Petite rando à St Pierre Montlimart 49 aux abords de l' Evre.

Désolé, les photos ne sont pas très bonnes, elles sont prises avec un portable..

cascade de raz-gué

Dès 1600,  on signalait des jardiniers à Nantes. Il y avait au XVIII ème siècle des Jardiniers près de la cathédrale de Nantes.

En 1850 : 54 jardiniers approvisionnent la ville, et les navires qui vont vers les îles, en fruits et légumes frais ainsi qu'en conserves (haricots, petits pois ...) faites par les jardiniers eux-mêmes.

Dans les années 1860 - 1870 des usines de conserves s'installent à Nantes.

Dans les années 1880, une orientation vers les primeurs est avancée, mais les diffcultés économiques ralentissent la demande et une surproduction génèrent des prix bas.

Dès 1889 un syndicat des jardiniers nantais est crée pour s'associer et être plus dynamique.

Dans les années 1930 - 1950 Le Maraîchage Nantais poursuit son développement en périphérie nantaise. Mais l'extension de la ville de Nantes oblige les familles maraîchères à déménager. Ainsi, la production de légumes primeurs se poursuit à Doulon, Carquefou, Saint Sébastien sur Loire, Sainte Luce sur Loire, etc... mais se délocalise également vers Saint Julien de Concelles, Les Sorinières, Vertou, Haute Goulaine, Machecoul, Saint Philbert de Grandlieu, La Planche, etc...

Les productions étaient variées : carotte, navet, poireau, radis, laitues, tomate, melons, concombre, chou-fleur, céleri, etc...

Après la seconde guerre mondiale, le Maraîchage Nantais prend de l'ampleur. Après une phase d'organisation collective, les maraîchers nantais continuent de créer des organismes ayant pour but, entre autres, d'améliorer leur technique culturale.

Les chocs pétroliers des années 70 et la concurrence étrangère de plus en plus présente obligent les maraîchers nantais à se spécialiser et à mécaniser. Les nouvelles technologies permettent de voir arriver les premiers tunnels plastiques. La matériel d'arrosage évolue encore avec le quadrillage. Les serres verres commencent à se chauffer.

Les années 90 débutent mal ! Une accumulation de difficultés entraîne en 1992-1993 une grave crise structurelle, symbolisée par la disparition de la Carotte Nantaise, alors fleuron des maraîchers nantais, mais délocalisée petit à petit dans les Landes et en Espagne.

Mais leur technologie permet aux maraîchers nantais d'être aujourd'hui leader national, voire européen, sur de nombreuses productions : mâche, poireau, radis, tomate, concombre, muguet.

Les années 90 sont aussi marquées par une prise de conscience collective concernant l'environnement.

Si vous voulez des précisions c'est ici

une terre très sableuse, du a la proximité de la Loire